Quand j’aime un produit, je ne me lasse pas de m’en délecter encore et encore au point même de friser le comportement obsessionnel. J’ai eu une période carottes râpées dans ma prime jeunesse. C’était mon péché mignon, allez savoir pourquoi ! L’étudiante fauchée que j’étais avait certainement du lire ou entendre que la carotte avait quelque vertu bénéfique pour la santé ou donnait une mine éclatante. Et comme, j’avais alors une aversion pour les pâtes, je me suis rabattue sur un substitut, qui ma foi, répondait de manière équivalente à tous les critères du plat fétiche de l’étudiant : vite fait, bien fait et surtout très très bon marché !